à la nouvelle librairie El Salón del libro, 21 rue des Fossés Saint-Jacques. Paris 5e (Près du Panthéon).
Rencontre avec le poète et écrivain colombien William Ospina actuellement invité par Les Belles Etrangères, auteur de En busca de Bolívar et El País de la Canela.
Avec la traductrice et psychanalyste Tania Roelens et Omar Guerrero, psychanalyste, et la participation de l’Association Lacanienne Internationaleclic.
William Ospina est l’un des 12 écrivains colombiens invités cette année par Les Belles Etrangères.
Il est un des écrivains les plus populaires en Colombie, particulièrement apprécié pour son oeuvre poétique, ses essais sur les enjeux de la société colombienne dans le monde, ses propositions souvent suivis d’effets dans la réalité en matière de culture, d’éducation, de politique..., pour ses réflexions sur la langue et l’histoire, pour ses biographies et romans.
La grande qualité poétique qui marque l’ensemble de ces écrits leur confère une étonnante lucidité d’analyse dans un pays aux prises avec la violence interne depuis des générations, une lucidité éclairée par un engagement personnel inscrit dans la culture universelle.
Brève présentation de son parcours par Tania Roelens.
Introduction au thème choisi pour initier la soirée : Bolivar, père de la patrie : mythe, légende, symbole ?, par Omar Guerrero, à l’occasion du dernier livre de W. Ospina, A la recherche de Bolivar, qui est déjà un évènement national en Colombie.
Trois de ses ouvrages sont disponibles en français : un recueil de poèmes sur le XXème siècle : A qui parle Viriginia en marchant vers l’eau ? (Cheyne éditeur 2004, traduction de Tania Roelens), et les romans Ursúa et Le pays de la cannelle (Lattès 2008 et 2010, traduits par Claude Bleton) sur les voyages de conquistadors dans les territoires de la Colombie, de l’Equateur et de l’Amazonie.