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>>Ana García Bergua, L’île aux fous, éd. Mercure de France
Paris, mars 2009
Ana García Bergua a étudié la littérature française, puis la scénographie et le théâtre, dont l’influence peut se lire dans ses récits à travers un art consommé du rebondissement. Elle est aujourd’hui journaliste et critique et collabore à de nombreux magazines culturels. Son œuvre compte deux recueils de nouvelles : El imaginador (1996), La confianza en los extraños (2002), et quatre romans : El umbral (travel and adventures) (1993), Púrpura (1999) et Rosas negras (2004), Isla de bobos (2007). Ce dernier, L’île aux fous, est le premier traduit en français.
« Construit à partir de faits réels tragiques, il évoque l’oubli par le gouvernement du Mexique, en 1914, en pleine révolution, d’une garnison de soldats avec femmes et enfants, installés depuis 1906, sur l’île de Clipperton, dans l’Océan Pacifique. Ils y meurent de scorbut à l’exception de trois femmes et de huit enfants qui sont sauvés par le navire américain Yorktown en 1917. L’écriture subtile, parfois paradoxalement humoristique, d’Ana García Bergua sert magistralement cette histoire tragique. » Florence Olivier
Ana García Bergua a étudié la littérature française, puis la scénographie et le théâtre, dont l’influence peut se lire dans ses récits à travers un art consommé du rebondissement. Elle est aujourd’hui journaliste et critique et collabore à de nombreux magazines culturels. Son œuvre compte deux recueils de nouvelles : El imaginador (1996), La confianza en los extraños (2002), et quatre romans : El umbral (travel and adventures) (1993), Púrpura (1999) et Rosas negras (2004), Isla de bobos (2007). Ce dernier, L’île aux fous, est le premier traduit en français.
« Construit à partir de faits réels tragiques, il évoque l’oubli par le gouvernement du Mexique, en 1914, en pleine révolution, d’une garnison de soldats avec femmes et enfants, installés depuis 1906, sur l’île de Clipperton, dans l’Océan Pacifique. Ils y meurent de scorbut à l’exception de trois femmes et de huit enfants qui sont sauvés par le navire américain Yorktown en 1917. L’écriture subtile, parfois paradoxalement humoristique, d’Ana García Bergua sert magistralement cette histoire tragique. » Florence Olivier
