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>>Claude Lévi-Strauss a 100 ans...

Paris, novembre 2008



Claude Lévi-Strauss est à l’honneur ce mois-ci : la célébration de son centième anniversaire, le 28 novembre, met en effervescence la communauté scientifique et déchaîne la production éditoriale dans le monde entier. À cette occasion, nous vous tiendrons informés des nombreux événements qui auront lieu autour de cette célébration.

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Lola et Claude Lévi-Strauss

Pour en savoir plus sur le panier de Lola


Salvatore D’Onofrio est professeur d’ethnologie à l’université de Palerme, et membre du Laboratoire d’Anthropologie Sociale du Collège de France. Parmi ses travaux, on trouve L’Esprit de la Parenté (préface de Françoise Héritier) en 2004, et en collaboration avec Dominique Fournier, le Ferment divin (1991) publiés aux Editions de la Maison des Sciences de l’Homme.



En guise d’introduction, ne manquez pas la projection en avant-première du film Claude Lévi-Strauss par lui-même de Pierre-André Boutang (2008),
mercredi 26 novembre 2008 à 17h30 au Petit auditorium de la BnF (entrée libre).


Journée spéciale le vendredi 28 novembre Musée du quai Branly.


Conférences et colloque au Collège de France.

À lire le blog de Pierre Assouline Lévi-Strauss dans la collection de la Pléiade.


À voir jeudi 27 novembre, douze heures de programmes sur Arte.


Sur Internet les archives INA sur Claude Lévi-Strauss.


Au Mexique Museo Nacional de Antropología


Au Chili Universidad Católica de Valparaíso.




Claude Lévi-Strauss, né en novembre 1908, est bien plus que le fondateur de la théorie structuraliste française, le rénovateur de l’anthropologie, vénéré et étudié comme tel dans toutes les institutions culturelles, l’écrivain classique désormais publié dans la Pléiade. Ainsi que l’écrit Jean Daniel dans son avant-propos, il est celui qui « mieux que les autres, a conceptualisé l’altérité, la différence, la comparaison, l’accouchement du moi par l’autre ». Un savant, sans doute, mais aussi un philosophe et un humaniste qui, étudiant de près, sur le terrain, les moeurs des civilisations qu’on disait « primitives », a pénétré au plus secret de ce qui nous fait hommes, tous différents, tous semblables.





Le Cahier de l’Herne, (n ° 82, octobre 2004), dirigé par Michel Izard.



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